Alors que la loi Taquet a instauré des contrôles d'antécédents judiciaires (notamment de nature sexuelle) systématiques et à intervalles réguliers pour les professionnels de la protection de l'enfance (y compris les bénévoles), une exception notable persiste : les tiers de confiance échappent à cette obligation.
Dans un article du 27 octobre 2024, Mediapart révèle que la justice a pris la décision, en 2023, de confier un mineur - Lucas (prénom modifié) âgé de 9 ans - à « un tiers digne de confiance », un voisin sexagénaire sans procéder à une vérification approfondie du passé judiciaire de cet homme.
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