Le phénomène de radicalisation touche de plus en plus tôt les jeunes
Le Centre d’analyse du terrorisme met en garde contre « l’accessibilité simplifiée » de la propagande djihadiste auprès des mineurs sur l'espace numérique. Un constat partagé par le procureur national antiterroriste invité de France Inter le 16 juillet.
Enfants handicapés : état des lieux de la transformation de l'offre médico-sociale en 2023
IME, SESSAD, ITEP.. où en est-on de la création de places ? Le développement de solutions pour les enfants en situation de handicap relevant de l’ASE est-il enfin amorcé ? Eléments de réponse de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie.
Législatives 2024 : ces professionnels de la protection de l'enfance désormais députés
Parent pauvre de la campagne des législatives, la protection de l'enfance trouvera-t-elle des alliés parmi ces nouveaux députés élus ?
École inclusive : les pôles d'appui à la scolarité expérimentés dès la rentrée 2024
La circulaire parue au BO du 4 juillet 2024 définit le cahier des charges des pôles d’appui à la scolarité (PAS) mis en place dans quatre départements préfigurateurs dès le 1er septembre 2024. On vous explique tout en dix points.
Pour remédier à la pénurie d'animateurs en centre de loisirs, les diplômés belges appelés à la rescousse
Le secteur de l'animation rencontre d'importantes difficultés de recrutement. Un arrêté autorise les Belges francophones à exercer en France dans les séjours de vacances, les accueils de loisirs sans hébergement et les accueils de scoutisme.
Protection de l’enfance et petite enfance : le contrôle systématique des antécédents judiciaires des professionnels et bénévoles
Comment s'effectue désormais le contrôle de l’honorabilité des intervenants dans les établissements et services de la protection de l'enfance et de la petite enfance, des assistants maternels ou familiaux, ou des professionnels de la PJJ. On vous explique tout en 10 points.
Dommage causé par un mineur : les parents séparés sont désormais conjointement responsables
La Cour de cassation a jugé, le 28 juin, que les parents séparés exerçant conjointement l’autorité parentale sont désormais tous deux responsables des dommages causés par leur enfant mineur, même si celui-ci ne réside que chez l’un de ses parents.