Dans le cadre des débats budgétaires, le garde des Sceaux a reconnu les fragilités d’une justice des mineurs à bout de souffle. Juges pour enfants saturés, PJJ fragilisée, éducateurs épuisés : le constat reste inchangé, sans réforme majeure annoncée.

La discussion budgétaire de l’automne met à nu les failles d’un service public exsangue.

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