Dénonçant « la dureté du traitement » des mineurs non accompagnés (MNA) en conflit avec la loi, la CNAPE formule des recommandations pour mettre « en amont » des faits de délinquance, « une véritable politique d’accueil et de mise à l’abri ».

Fin 2020, on comptait 41 200 MNA pris en charge par les départements, mais « de nombreux mineurs isolés errent aujourd’hui dans les grandes métropoles » sans aucun accompagnement, souvent « manipulés par des réseaux d’exploitation qui les incitent à commettre des délits » et « à consommer des stupéfiants », alerte la CNAPE. Selon une étude de la DREES publiée en 2023, un quart des MNA dormaient en centre d’hébergement ou dans la rue avant leur prise en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE).  

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