Chaque année, le syndrome du bébé secoué provoque la mort ou de lourds handicaps chez des centaines d’enfants. Le ministère de la Santé défend ses actions de prévention et promet de nouvelles mesures pour les prochaines années.

« Un bébé secoué, c’est un choc comparable à un accident de voiture à 160 km/h. » Derrière cette image, une réalité : des nourrissons de deux à quatre mois subissent des secousses violentes, souvent une dizaine de fois avant d’être pris en charge. Conséquence : un décès dans 20 % des cas. Et pour 75 % des survivants, des séquelles irréversibles — troubles cognitifs, retard psychomoteur, déficits visuels, parfois la cécité.

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