Vincent Fritsch (SNPES-PJJ/FSU) : « La Direction de la PJJ navigue à vue »
Une audience entre l'intersyndicale et la DPJJ a eu lieu le 6 septembre. La sortie de crise est encore loin, selon Vincent Fritsch, co-secrétaire du SNPES-PJJ/FSU, le syndicat majoritaire et éducateur dans le Vaucluse. Interview.
Dalila Abbar (AADJAM) : « La situation des jeunes mères isolées issues de l'ASE et mises à la rue est alarmante »
De l'ASE aux centres maternels puis à la rue… Dalila Abbar, fondatrice et déléguée générale de l'AADJAM dénonce le parcours chaotique de jeunes mères isolées et sans domicile dont la prise en charge incombe aux départements. Interview.
En France, « l’illettrisme persiste, l’illectronisme s’installe », même chez les jeunes
Les Journées nationales d’action contre l’illettrisme se tiennent du 8 au 15 septembre. Si l'illettrisme traditionnel reste un enjeu majeur, les jeunes sont de plus en plus confrontés à l'illettrisme numérique, aussi appelé « illectronisme ».
Suppression de postes à la PJJ : la crainte d'un effet domino
Le secteur associatif habilité (SAH) rejoint le chœur des voix s'alarmant de la suppression de 500 postes de contractuels au sein de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Une décision qui aggrave la situation critique de la protection de l'enfance.
« La crise de la PJJ est une crise de sens, de moyens et de la reconnaissance statutaire »
La protection judiciaire de la jeunesse est dans la tourmente. Trois questions à Carlos Lopez, éducateur PJJ à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) et responsable Auvergne du SNPES-PJJ/FSU, le syndicat majoritaire.
Enfants à la rue : les associations demandent que « les paroles soient enfin suivies d’actes forts »
2 046 enfants sont recensés sans solution d'hébergement. L'UNICEF France et la Fédération des acteurs de la solidarité tirent la sonnette d'alarme et demandent au futur gouvernement de mettre en place des politiques ambitieuses.
« Les JOP continuent ainsi que l'errance des mineurs à la rue »
Si le baromètre « Enfants à la rue » dévoilé le 29 août ne comptabilise pas les MNA, une autre étude révèle qu’ils sont 1100 à dormir dehors. À Paris, les JOP 2024 ont aggravé leur situation précaire.