Condamnée par des instances internationales et interpellée par ses propres juridictions, la France peine à définir une ligne claire sur le sort des enfants de djihadistes détenus en Syrie. Entre enjeux humanitaires, diplomatiques et sécuritaires, le dossier reste enlisé.
Dans le camp de Roj, au nord-est de la Syrie, environ 120 enfants de ressortissants français ayant rejoint l’organisation État islamique — aux côtés d’une cinquantaine de femmes, pour la plupart veuves ou épouses de djihadistes — sont encore détenus. Ils vivent dans des conditions précaires, entre insécurité, manque de soins et absence de perspectives, une situation qui suscite des interrogations politiques et humanitaires en France.
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