Le rapport sur l’accès à la justice des ultramarins, publié le 5 décembre, montre que distance, pauvreté, pénurie d’avocats et manque d’interprètes empêchent nombre de mineurs d’être réellement protégés.
Dans plusieurs territoires ultramarins, la part des mineurs dépasse largement celle de l’Hexagone. En Guyane comme à Mayotte, les rapporteurs décrivent « une croissance démographique importante, accompagnée d’une forte pression migratoire ». Cette dynamique renforce les besoins judiciaires dans des systèmes déjà sous tension. À ces facteurs s’ajoute une pauvreté structurelle exceptionnelle.
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