Dans un avis adopté le 12 janvier, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) constate « l’ineffectivité partielle » du second plan national d’action contre la traite des êtres humains (2019-2022). Alors que la protection des mineurs victimes était l'un des axes majeurs du plan, les mesures prévues à cet effet ne sont pas vraiment opérationnelles.

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