Réduire la charge administrative, sécuriser les pratiques, mieux accompagner les jeunes : l’IA pourrait bientôt épauler les professionnels de la PJJ.

Alléger les tâches des éducateurs, mieux suivre les parcours des jeunes, faciliter l’accès au droit… L’intelligence artificielle fait doucement son entrée dans les pratiques de la protection judiciaire de la jeunesse. Objectif : soutenir les professionnels sans jamais les remplacer. Le rapport remis le 23 juin à Gérald Darmanin par Haffide Boulakras, directeur adjoint de l’École nationale de la magistrature, trace les contours d’une transformation aussi prudente qu’ambitieuse.

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