Derrière les murs de la protection de l’enfance, une révolution silencieuse s’amorce. Longtemps tenus à distance des décisions qui les concernent, les jeunes confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE) apprennent peu à peu à faire entendre leur voix. Chercheurs, éducateurs et anciens placés redessinent ensemble les contours d’une participation réelle.
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