Il y a urgence. La CNAPE réclame un « plan des solidarités et de la santé » pour améliorer les conditions de travail, la reconnaissance des professionnels des établissements et des services de la protection de l'enfance et assurer ainsi un meilleur accompagnement des 300 000 enfants et jeunes suivis.

Lors de leur assemblée générale du 30 septembre, les membres de la CNAPE (Convention nationale des associations de protection de l'enfant) ont adopté à l’unanimité la motion "Protection de l’enfance : chronique annoncée d’un effondrement".  

La fédération - qui avait avec 7 autres organisations et syndicats d'employeurs représentant le champ social, médico-social et sanitaire appelait à la mobilisation générale des professionnels le 28 septembre - s'inquiète, à nouveau, du « malaise profond » qui touche le champ de la protection de l'enfance et de la « désaffection croissante pour le travail social » qui perdure.

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