Les représentants de la Moselle, des Côtes d’Armor et du Val d’Oise n'ont pas manqué de souligner les carences de l'État en matière de santé des enfants relevant de l’aide sociale à l’enfance, de politique du handicap et ou de justice.
Quelques jours après la remise du rapport du député (Renaissance) de l'Oise, Éric Woerth évoquant notamment le scénario d'une « recentralisation » de l’aide sociale à l'enfance (ASE), trois vice-présidentes en charge de l’Enfance, Marie-Louise Kuntz (Moselle), Cinderella Marchand (Côtes d’Armor) et Véronique Pelissier (Val d’Oise) ont été auditionnées, le 4 juin, par la délégation aux droits des enfants de l'Assemblée nationale. « Lors de toutes nos auditions, il ressort fréquemment la nécessité que l'État reprenne sa place auprès des Départements sur les compétences qui sont les siennes », souligne, en introduction, Perrine Goulet, députée MoDem de la Nièvre et présidente de la délégation parlementaire.
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