Déposée le 13 novembre, la proposition de loi de la sénatrice socialiste Laurence Rossignol actualise le code pénal pour inclure la cyberprostitution et la pornographie dans l’exploitation sexuelle, et renforcer la répression des actes sexuels tarifés impliquant des mineurs.

Le numérique a profondément modifié les formes d’exploitation sexuelle, en déplaçant une partie des violences hors du champ visible. Sollicitations à distance, actes filmés contre rémunération ou pressions discrètes constituent désormais des modes d’exploitation à part entière.

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