En 2024, les demandes d’asile déposées par des mineurs non accompagnés (MNA) reculent pour la première fois depuis plus de dix ans. Malgré cette baisse, ces jeunes restent confrontés à des vulnérabilités majeures, notamment les filles, de plus en plus nombreuses, exposées aux violences et aux mutilations sexuelles.


Il vous reste % de cet article à lire.

Pour lire la suite, rejoignez notre communauté d’abonnés

Je découvre les offres

Vos avantages

  • L’accès illimité à tous les articles, décryptages, dossiers et interviews de la rédaction
  • Une information vérifiée, analysée et documentée
  • Un média indépendant et animé par des journalistes spécialistes du secteur social et médico-social