Enfermer des enfants étrangers dans des centres de rétention appartient désormais au passé en métropole. À Mayotte, en revanche, cette pratique restera possible jusqu’en 2028. Une exception qui met en lumière la tension entre protection des mineurs et pression migratoire.

Ce sont des images que les autorités veulent effacer : des enfants confinés derrière les barbelés d’un centre de rétention administrative (CRA) sur le point d’être expulsés vers un pays dont ils n’ont parfois aucune connaissance. Jusqu’en 2024, un mineur pouvait être placé dans ce type de structure lorsqu’il accompagnait un adulte étranger en situation irrégulière. Cette possibilité est désormais supprimée.

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