Les enfants confiés à l’ASE, souvent vulnérables ou handicapés, subissent des parcours instables et coûteux. Les départements alertent sur la pression financière et la saturation du système, et appellent l’État à intervenir pour coordonner les dispositifs et protéger leur santé mentale.
« Le système est saturé et ne peut plus répondre aux besoins croissants des enfants », alerte Philippe Gouet, président du conseil départemental du Loir-et-Cher et président du groupe de travail « Santé » de Départements de France.
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