Politiques Publiques
Dix organisations professionnelles dénoncent « la fin des diplômes d’État »
Le 14 octobre, le ministère a publié au Journal officiel les nouveaux référentiels des diplômes d’État du travail social. Une réforme qui suscite la vive inquiétude des organisations professionnelles.
PMI : un service qui tient, mais sous tension
En 2023, l’activité des services de PMI reste globalement stable malgré la baisse des naissances. Selon la Drees, les consultations progressent légèrement, les visites à domicile reculent un peu, mais les écarts entre territoires et les déséquilibres dans les équipes persistent.
Politiques de l’enfance : l’État face à ses propres manquements (2/2)
Derrière les milliards investis, un système à bout de souffle. Gouvernance éclatée, coordination défaillante, inégalités territoriales : l’État finance, mais ne garantit plus l’égalité des droits. Et des milliers d’enfants restent hors champ des politiques publiques.
Aides au logement : la Cnaf autorise la renonciation rétroactive des étudiants
La Cnaf autorise désormais les jeunes à renoncer rétroactivement à leurs aides au logement pour permettre à leurs parents de retrouver leurs prestations familiales. Une instruction, publiée le 23 octobre 2025, encadre cette possibilité, longtemps attendue.
27 milliards pour l’enfance : une politique publique sans pilote (1/2)
Près de 27 milliards d’euros seront consacrés en 2026 à la santé, l’éducation, la justice et la protection des enfants. Un effort inédit, mais éparpillé : malgré l’ampleur des moyens, les politiques de l’enfance peinent encore à parler d’une seule voix.
MNA : des départements sous tension, malgré la baisse des arrivées
En 2024, le nombre de mineurs non accompagnés confiés à l’aide sociale à l’enfance a reculé de 30 %. Une baisse sensible, mais sans effet sur le terrain : les services départementaux restent saturés, les dépenses élevées et les équipes sous tension. Derrière la décrue, la pression demeure.
Mineurs non accompagnés : en 2024, moins nombreux, plus jeunes
En 2024, le nombre de mineurs non accompagnés (MNA) confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE) a reculé de 30 %. Moins nombreux, plus jeunes, parfois plus vulnérables : un public en mutation, pris en charge dans un dispositif toujours sous pression.