Placées pour être protégées, piégées par les réseaux. En France comme en Europe, des adolescentes de l’aide sociale à l’enfance (ASE) basculent dans l’exploitation sexuelle, parfois sous les yeux d’institutions dépassées, incapables d’endiguer des stratégies de prédation toujours plus organisées.

Elles ont 13 ou 14 ans, parfois moins. Leur enfance a souvent été marquée par la précarité, la violence ou l’instabilité familiale. Placées sous la protection de l’aide sociale à l’enfance (ASE), ces adolescentes auraient dû y trouver un refuge. Mais c’est au sein même de ce dispositif que débute, pour certaines, l’engrenage de l’exploitation sexuelle.

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