Souvent première étape vers l’autonomie, le logement d’insertion reste fragile pour les jeunes femmes, majoritairement mères célibataires, face à la précarité et l’isolement. Les jeunes majeures issues de l’ASE ou MNA cumulent ruptures et difficultés d’insertion sociale et professionnelle.
Le logement d’insertion, souvent première étape vers l’autonomie, reste un parcours difficile pour de nombreuses jeunes femmes. Majoritairement mères célibataires, parfois très jeunes, elles assument seules la charge de leurs enfants dans un contexte d’instabilité, de précarité et d’isolement. Plus de 30 % des résidentes sont mères seules, révélant un cumul de vulnérabilités liées à leur âge et à leur rôle parental.
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