Des centaines de mineurs non accompagnés voient leur demande d’asile suspendue faute d’administrateur ad hoc, ce représentant censé défendre leurs droits. Alors que le Pacte européen sur la migration et l’asile imposera dès 2026 des délais plus stricts, le pays semble déjà incapable de tenir ses engagements.
Pour lire la suite, rejoignez notre communauté d’abonnés
Je découvre les offresVos avantages
- L’accès illimité à tous les articles, décryptages, dossiers et interviews de la rédaction
- Une information vérifiée, analysée et documentée
- Un média indépendant et animé par des journalistes spécialistes du secteur social et médico-social