Décrochage scolaire : 3100 mineurs et 14 800 jeunes majeurs sont déscolarisés à La Réunion
En 2020, les scolarités courtes sont plus fréquentes à La Réunion que dans l’Hexagone, d'après une étude publiée par l’Insee le 20 février.
Coupes budgétaires : la protection des enfants vulnérables et la PJJ ne sont pas épargnées
Les 10 milliards d’euros d’économies dans le budget de l'État pour 2024 annoncés par Bruno Le Maire touchent près d’une trentaine de domaines. Des coupes budgétaires qui concernent aussi l'enfance et la jeunesse.
Fin des contrats jeunes majeurs après 21 ans : « Il n’y aura pas de sortie sèche », assure le Département de Loire-Atlantique
« Ne les lâchez pas, faites le bon choix ! ». Plus de 300 acteurs de la protection de l'enfance étaient réunis à Nantes, le 22 février, devant l’hôtel du département pour dénoncer la décision de la collectivité d'arrêter, à partir du 1er avril, les contrats jeunes majeurs au-delà de 21 ans.
« Plusieurs chantiers urgents et essentiels doivent aboutir sans tarder », alerte l'Uriopss Ile-de-France
Dans un courrier en date du 21 février, l'Uriopss Ile-de-France interpelle les députés et sénateurs franciliens sur « les enjeux cruciaux des politiques de santé, de solidarités et de lutte contre les exclusions ».
Une ancienne enfant de l'ASE placée à l'hôtel témoigne : « Même un chien on ne le met pas ici »
Cinq ans après, Lina conserve intacts les douloureux souvenirs de son placement à 16 ans à hôtel dans le cadre de sa prise en charge par l'aide sociale à l'enfance (ASE). Environnement insalubre, peur, solitude, drogues, tentatives de suicide… Elle témoigne de son passé auprès de l'AFP.
Coup de pouce de la CNAF pour les crèches et les Points d'accueil et d'écoute jeunes
Les administrateurs de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) ont voté, le 6 février, des mesures financières destinées à « renforcer le soutien en faveur de la petite enfance et de la jeunesse ».
La Réunion signe un plan de lutte contre les violences intrafamiliales faites aux enfants
En 2022, parmi les 11 208 victimes de violences recensées à La Réunion, la moitié a été maltraitée au sein même de sa famille.