"Les réponses apportées restent encore très loin des besoins", estime le Collectif Autisme
A l'occasion de la journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, le 2 avril, le Collectif Autisme déclare que « la France est très loin d’avoir rattrapé son retard en matière d’autisme, malgré les efforts accomplis » malgré les trois plans successifs et réclame « des réponses concrètes ».
Lancement d'une grande étude sur l'autisme avec 1 700 familles suivies pendant dix ans
En amont de la Journée internationale de l'autisme du 2 avril, la France lance la "cohorte Marianne". Objectif : suivre 1 700 familles pendant 10 ans afin de préciser le rôle des facteurs environnementaux dans l’autisme.
La généralisation du Service national universel rangée au placard ?
La généralisation du service national obligatoire(SNU) pour les jeunes de 16 ans n'aura pas lieu.
Selon Autisme France, "encore trop de travailleurs sociaux confondent les signes de l’autisme avec ceux de la maltraitance"
En dépit de l'existence d'outils et de procédure, Autisme France constate que la confusion entre autisme et situation de maltraitance ou de carences éducatives perdure. L'association dénonce à nouveau les dysfonctionnements de l'aide sociale à l'enfance (ASE).
Violences envers les mineurs : « La situation est alarmante dans tous les territoires ultramarins », selon un rapport parlementaire
Le rapport présenté le 29 mars devant la délégation aux droits des enfants de l' Assemblée nationale formule 34 recommandations pour pallier une prise en charge "défaillante" des mineurs victimes de violences dans les territoires d'outre-mer.
La DPJJ publie un référentiel d’évaluation de la situation des jeunes suivis dans le champ pénal
La direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) a publié un référentiel consacré à l’évaluation des situations des mineurs et jeunes majeurs suivis dans le champ pénal par le secteur public et le secteur associatif habilité.
Mutilations génitales féminines : un risque encore présent pour des mineures vivant en France ?
Entre 12 et 20 % des filles âgées de 0 à 18 ans, vivant en France et originaires de pays où les mutilations génitales féminines sont pratiquées seraient en risque. Le ministère chargé de l'Égalité entre les femmes et les hommes rappelle les mesures de prévention mises en oeuvre.