La parole des jeunes en protection de l’enfance : un droit à faire vivre
L’ONPE révèle que les jeunes confiés à l’ASE peinent à se faire entendre. Pourtant, leur parole est essentielle pour renforcer leur autonomie, leur confiance et leur capacité à peser sur leur parcours et les décisions qui les concernent.
Justice : les associations socio-judiciaires réclament le Ségur
Les associations socio-judiciaires, piliers de la justice et de la réinsertion, montent au créneau. Elles dénoncent des conditions de travail difficiles et réclament la prime Ségur pour leurs équipes.
Jeunes suivis par la PJJ : santé fragile, trajectoires à risques
Les adolescents suivis par la PJJ cumulent santé fragile, maladies chroniques, handicaps reconnus et isolement social. Ces vulnérabilités s’accentuent avec l’âge, et le renoncement aux soins est fréquent, soulignant l’importance d’un accompagnement global vers l’autonomie.
Protection des enfants : l’attestation d’honorabilité se généralise
Depuis le 1ᵉʳ octobre, l’attestation d’honorabilité est obligatoire partout en France. Tous les professionnels et bénévoles travaillant dans la protection de l’enfance et l’accueil du jeune enfant sont concernés.
Protection de l'enfance : six mois après le rapport Santiago, « l'État aux abonnés absents »
Lors d’une rencontre de l’AJIS à Paris, Isabelle Santiago a dénoncé les retards persistants de l’État en matière de protection de l’enfance et insisté sur l’urgence d’agir, malgré l’instabilité politique, pour sécuriser l’avenir des enfants vulnérables.
Polyaddiction et prostitution : le cercle vicieux des mineurs
Le Dr Emmanuelle Peyret, psychiatre addictologue à l’hôpital Robert Debré à Paris, alerte sur l’explosion des situations où violence, prostitution et polyaddiction se mêlent chez les adolescents. Repérage, prévention et alliance thérapeutique sont essentiels pour protéger ces jeunes vulnérables.
Santé mentale des enfants confiés à l’ASE : un système en crise
Handicap, troubles psychiques et vulnérabilités sociales : les enfants placés à l’ASE vivent des parcours fragmentés. À l’Assemblée nationale, une commission d’enquête met en évidence l’urgence d’un suivi coordonné pour protéger leur santé mentale.