Entre handicap, troubles psychiques et vulnérabilités sociales, certains enfants placés à l’ASE subissent des parcours fragmentés et instables. À l'Assemblée nationale, une commission d’enquête met en évidence l’urgence d’une coordination nationale pour assurer un suivi stable et protéger leur santé mentale.

Chaque année, des milliers d’enfants sont confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE), souvent après avoir été exposés à la violence, à la négligence ou à des situations familiales instables. Ces jeunes vivent des parcours chaotiques où la santé mentale est gravement fragilisée.

Il vous reste % de cet article à lire.

Pour lire la suite, rejoignez notre communauté d’abonnés

Je découvre les offres

Vos avantages

  • L’accès illimité à tous les articles, décryptages, dossiers et interviews de la rédaction
  • Une information vérifiée, analysée et documentée
  • Un média indépendant et animé par des journalistes spécialistes du secteur social et médico-social