Politiques Publiques
Protection de l’enfance : les ODPE montent en puissance mais restent fragiles
Quasi généralisés, les observatoires départementaux de la protection de l’enfance (ODPE) ne fonctionnent pas tous avec la même force. Certains éclairent les décisions locales ; d’autres peinent encore à trouver les moyens d’exister.
La santé mentale reste « grande cause nationale » en 2026
Le Gouvernement prolonge en 2026 la « grande cause nationale » 2025 dédiée à la santé mentale, labelisée « Parlons santé mentale ! ».
La pauvreté des enfants progresse sans devenir une priorité politique
La pauvreté touche un enfant sur cinq, et les situations extrêmes se multiplient. Pourtant, l’UNICEF France et le Collectif Alerte pointent l’absence de véritable stratégie nationale. Entre données alarmantes et inertie politique, l’enfance demeure un angle mort.
Contrat d’engagement jeune : un dispositif rigide qui fragilise les plus vulnérables
Pensé pour renforcer l’accompagnement, le Contrat d’engagement jeune impose 15 à 20 heures d’activités par semaine. L’enquête du Céreq montre une mise en œuvre très inégale, une charge administrative lourde et des effets parfois déstabilisants pour les jeunes les plus fragiles.
« Avec toutes les alertes, rien ne bouge » : l’appel à agir pour la protection de l’enfance
Lors du web-événement de l’Uniopss du 27 novembre, Katy Lemoigne et Anniela Lamnaouar ont dressé un constat sévère : une protection de l’enfance en crise, minée par l’inaction, des droits fragilisés et de fortes attentes autour du projet de loi 2026.
Protection de l’enfance : le projet de loi attendu pour début 2026
Stéphanie Rist, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités, des Familles, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, devrait présenter au premier trimestre 2026 le projet de loi sur la protection de l’enfance.
Protection de l’enfance : six organisations réclament un pilotage national d’urgence
À l’approche d’un projet de loi décisif, six fédérations exhortent la ministre Stéphanie Rist à reprendre le pilotage de la protection de l’enfance. Elles estiment le secteur trop fragmenté, trop fragile, pour continuer sans une direction politique ferme et assumée.