À la conférence de rentrée sociale, Daniel Goldberg, président de l’Uniopss, met en évidence la pression sur les associations et les limites des politiques sociales. Il alerte sur la hausse de la pauvreté, la saturation des services de psychiatrie et de santé mentale, la précarité dans la petite enfance et la protection de l’enfance, et appelle les pouvoirs publics à des mesures concrètes.
« Le temps de l’esquive est révolu ! » C’est par ces mots que Daniel Goldberg, président de l’Uniopss, a ouvert la conférence de rentrée sociale le 19 septembre 2025. Selon lui, « un vent mauvais souffle sur les solidarités ». Associations en première ligne, budgets publics réduits, services débordés : la situation devient critique.
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