Six ans après le Grenelle de lutte contre les violences conjugales de 2019, une table ronde à l’Assemblée nationale dresse un bilan contrasté : hausse des violences, procédures plus précoces, dispositifs renforcés mais encore inégaux, et une alerte constante sur la protection des enfants.
La présidente de la délégation aux droits des femmes ouvre la table ronde du 25 novembre en rappelant l’origine du Grenelle de 2019, né dans un pays secoué par « un féminicide tous les deux jours, voire plus », selon les associations. À l’époque, tous les acteurs – forces de l’ordre, associations, familles, élus, administration – avaient accepté de construire ensemble une réponse « à la hauteur du drame que vivent des milliers de femmes ».
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