Une étude récente du ministère de la Justice met en lumière le parcours pénal des individus visés par une ordonnance de protection (OP), offrant une perspective inédite sur l'articulation entre les champs civil et pénal.
Face à l'urgence des violences conjugales, la France a musclé son arsenal judiciaire, au civil comme au pénal. Le nombre de personnes mises en cause dans des affaires de violences conjugales a doublé entre 2017 et 2023, passant de 82 100 à 166 700.
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