Métiers de la petite enfance : le sens, maillon manquant de l’attractivité
La crise de la petite enfance ne se résume pas à une pénurie de personnel. C’est la question du sens, au cœur du travail quotidien, qui façonne désormais l’avenir du secteur. Une enquête nationale le confirme : c’est ce sens qui retient les professionnelles… ou les pousse vers la sortie.
Espaces de rencontre parents/enfants : une activité en forte hausse, un accès encore inégal
Les espaces de rencontre, maillons essentiels de la protection de l’enfance, ont connu une forte montée en puissance en 2024. Leur rôle face aux violences intrafamiliales est désormais établi, mais des disparités territoriales subsistent.
L’État condamné pour manquements à la prise en charge d’un enfant autiste
La Cour administrative d’appel de Versailles a condamné l’État pour carences dans la prise en charge d’un enfant autiste. L’arrêt rappelle que le droit à une scolarisation adaptée et à un accompagnement médico-social effectif est impératif, et que tout manquement engage la responsabilité de l’État.
Aidance et carrière : le dilemme des mères d’enfants handicapés
En France, les mères d’enfants malades ou handicapés jonglent entre travail et soins quotidiens. Temps partiel, arrêts professionnels, carrières heurtées… Cette double charge renforce les inégalités de genre et révèle les limites des dispositifs de soutien.
Professionnelles du social : quels salaires en 2023 ?
En 2023, le salaire moyen des professionnelles du social atteint 2 090 euros nets par mois, en hausse de 5 % par rapport à 2022, mais stable en euros constants, selon la Drees.
Jeunes suivis par la PJJ : santé fragile, trajectoires à risques
Les adolescents suivis par la PJJ cumulent santé fragile, maladies chroniques, handicaps reconnus et isolement social. Ces vulnérabilités s’accentuent avec l’âge, et le renoncement aux soins est fréquent, soulignant l’importance d’un accompagnement global vers l’autonomie.
« Les centres de PMI connaissent depuis plusieurs décennies l’érosion de leur mission »
Les services de PMI, qui suivent et protègent les jeunes enfants, sont sous pression : effectifs en baisse, budgets réduits et urgences de l’ASE fragilisent leur capacité à soutenir efficacement les familles vulnérables.