« Le concept de placement à domicile est incongru »

Alors que la Cour de cassation éclaire, dans un avis du 14 février 2024, la qualification juridique du "placement éducatif à domicile", Jean-Pierre Rosenczveig, ancien président du tribunal pour enfants de Bobigny revient sur les ambiguïtés de cette mesure.

Selon la Cour de cassation, le placement à domicile doit s’analyser comme étant une mesure d’AEMO

Dans un avis du 14 février 2024, la Cour de cassation précise la qualification juridique pouvant être donnée à la mesure éducative dite de « placement éducatif à domicile » (PEAD), en l'état du droit en vigueur depuis la loi du 7 février 2022 relative à la protection des enfants.

Le placement éducatif à domicile, « un oxymore incompréhensible »

Le placement éducatif à domicile (PEAD) ne fait pas l'unanimité auprès des professionnels de la protection de l'enfance. Explications.

Prévention spécialisée : « Dans certaines villes, il y a un éducateur de rue pour 1400 jeunes âgés de 11 à 21 ans »

Quelles réponses le gouvernement va-t-il apporter aux émeutes de juin ? Marie-Pierre Cauwet, directrice de l’Association prévention spécialisée nationale (APSN) espère une reconnaissance de l’importance de l'action des éducateurs de rue auprès des jeunes des quartiers populaires.

Sadek Deghima, responsable de service de prévention spécialisée : « La réponse "post-émeutes" des pouvoirs publics ne peut pas être axée sur la répression »

Quatre mois après les émeutes urbaines, Sadek Deghima, responsable du service de prévention spécialisée de l’association Avenir des cités à Harnes (Hauts-de-France) attend toujours de vrais moyens pour améliorer la situation des jeunes des quartiers populaires. Interview.

Protocole féminicide, statut de victime, autorité parentale : quel devenir pour les enfants après un homicide conjugal ?

Si les pouvoirs publics ont pris quelques mesures les concernant, les orphelins des féminicides demeurent encore les victimes collatérales, silencieuses et parfois oubliées des violences conjugales.

« Le sort des orphelins de féminicides n’est pas primordial pour le gouvernement »

Quand on l'interroge sur la situation des orphelins de féminicides, Sylvaine Grévin égrène les histoires dramatiques d'enfants comme de jeunes majeurs. La fondatrice et présidente de la Fédération nationale des victimes de féminicides (FNVF) fustige l'inertie de l'État.
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