Ces dernières années, les condamnations internationales s’accumulent pour la France pour sa gestion de ses ressortissants détenus dans les camps de Syrie. On en dénombre désormais quatre. Pourtant, plus d'une centaine d'enfants français sont encore détenus dans les camps de prisonniers djihadistes du nord-est de la Syrie.

Le Comité des Nations Unies contre la torture a sommé, le 31 janvier, pour la seconde fois en un an, la France de respecter la Convention contre la torture dont elle est signataire. En janvier dernier, saisi en 2019 par des familles de femmes et enfants encore en Syrie, il avait condamné, une première fois, la France pour ne pas prendre en charge les mères et leurs enfants. 

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