Au cœur d’une enquête pour malversations, l’agence d’intérim Domino Care est accusée d’avoir surfacturé la prise en charge de mineurs de l’ASE. Une affaire emblématique des dérives lucratives dans la protection de l’enfance, sur fond d’intérim généralisé et de contrôle défaillant.
Implantée à Angers, l’agence d’intérim Domino Care est visée par de graves soupçons de malversations financières dans la prise en charge de mineurs confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE). Selon Le Courrier de l’Ouest du 26 juillet 2025, le préjudice pourrait atteindre plusieurs centaines de milliers d’euros.
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