Les trajectoires de jeunes placés au pénal étudiées pour la DPJJ révèlent des troubles psychiques fréquents, des enfances instables et des capacités cognitives fragiles. Un ensemble de données qui éclaire la complexité des accompagnements et les besoins encore insuffisamment couverts.
Bien avant l’intervention de la justice, une grande partie des adolescents suivis au pénal évolue dans un contexte déjà fragile.
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