Politiques Publiques
Protection de l’enfance : le projet de loi attendu pour début 2026
Stéphanie Rist, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités, des Familles, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, devrait présenter au premier trimestre 2026 le projet de loi sur la protection de l’enfance.
Protection de l’enfance : six organisations réclament un pilotage national d’urgence
À l’approche d’un projet de loi décisif, six fédérations exhortent la ministre Stéphanie Rist à reprendre le pilotage de la protection de l’enfance. Elles estiment le secteur trop fragmenté, trop fragile, pour continuer sans une direction politique ferme et assumée.
Violences conjugales : six ans après le Grenelle, la protection reste inégale
Six ans après le Grenelle de lutte contre les violences conjugales, une table ronde à l’Assemblée nationale dresse un bilan contrasté : violences en hausse, dispositifs renforcés mais appliqués de façon inégale, et une vigilance accrue sur la protection des enfants.
18-25 ans : un accès au logement de plus en plus contraint
Entre loyers trop élevés, surfaces réduites et retours fréquents au domicile parental, les 18-25 ans affrontent un accès au logement devenu incertain. Cette instabilité pèse sur leurs études, leurs débuts professionnels et leur capacité à gagner en autonomie.
Jeunes majeurs de l’ASE : quand le territoire décide du passage à l’âge adulte
Entre principes nationaux et pratiques locales, l’accompagnement des jeunes sortant de l’ASE reste profondément inégal. Selon le territoire, franchir les 18 ans ouvre une continuité de protection… ou un parcours semé de conditions, d’attentes et d’incertitudes.
Syndrome du bébé secoué : seule une mère sur deux en France a reçu le plan de gestion des pleurs du nourrisson
Une étude nationale (Université Paris Cité, Inserm, AP-HP, Santé publique France, CHU de Nantes) révèle que le plan de gestion des pleurs du nourrisson, outil clé de prévention du syndrome du bébé secoué, n’est remis qu’à une mère sur deux en maternité en France.
Jeunesse populaire : sur les réseaux, un nouvel art de l’engagement – Exemple en Seine-Saint-Denis, avec Snapchat
On les dit désengagés, indifférents, repliés sur leurs écrans. Et si les jeunes, notamment ceux des quartiers populaires, inventaient simplement d’autres manières de s’impliquer ?